Hilarologie, Jacques Bodoin
Très bon, mais je pense qu'on n'aurait plus autant droit de se moquer d'un "vieillard" (ou personne âgée) de la même manière comme à la fin du sketch aujourd'hui. Société puritaine oblige !
😂😁👍
Très bon, mais je pense qu'on n'aurait plus autant droit de se moquer d'un "vieillard" (ou personne âgée) de la même manière comme à la fin du sketch aujourd'hui. Société puritaine oblige !
😂😁👍
J'étais bien enfant quand je l'écoutais à la radio. J'adorais 😃
Toujours de Jean Nohain pour les paroles et Mireille pour la musique. Souvenirs d'enfance...
Paroles :
A l'écol' quand j'étais p'tit,
J'étais constamment puni.
Un beau jour, je me suis dit :
"Ça n'va plus ainsi !"
Il faut que ça finisse.
J'épous' l'institutrice.
Et quand on s'ra mariés,
Je serai toujours le premier.
Papa n'a pas voulu
Et Maman non plus.
Mon idée leur a déplu.
Tant pis n'en parlons plus !
Les enfants obéissants
Font tout c'que disent leurs parents.
Papa n'a pas voulu
Et maman non plus.
J'adorais les animaux,
Les chiens, les chats, les chameaux,
Les poissons roug's, les taureaux,
Les poul's et les veaux.
Un jour, dans un' lot'rie,
Je gagne une otarie.
J'l'emmène à la maison
Et je l'instal' dans le salon.
Papa n'a pas voulu
Et Maman non plus.
Mon idée leur a déplu.
Tant pis n'en parlons plus !
Les enfants obéissants
Font tout c'que disent leurs parents.
Papa n'a pas voulu
Et maman non plus.
J'mangeais, quand j'étais gamin,
Tout c'qui m'tombait sous la main.
J'suçais les rideaux d'satin
Et les traversins.
Un jour, ma tante Estelle
M'donne une boite d'aquarelles.
Ell's étaient sans danger,
Alors j'ai voulu les manger.
Papa n'a pas voulu
Et Maman non plus.
Mon idée leur a déplu.
Tant pis n'en parlons plus !
Les enfants obéissants
Font tout c'que disent leurs parents.
Papa n'a pas voulu
Et maman non plus.
J'aimais beaucoup le violon,
Le trombone et le piston,
La flûte et l'accordéon
Le piano et l'basson.
Un jour, le marchand passe :
J'achète un cor de chasse.
Dès la première leçon,
Toute la famille a dit : Non !
Papa n'a pas voulu
Et Maman non plus.
Mon idée leur a déplu.
Tant pis n'en parlons plus !
Les enfants obéissants
Font tout c'que disent leurs parents.
Papa n'a pas voulu
Et maman non plus.
Ma sœur m'avait fait cadeau
D'un' jolie pair' de ciseaux.
J'coupais les franges des rideaux
En tout ptits morceaux.
Je taillais les tentures,
Les draps, les couvertures,
Et j'voulais mêm' couper
L'eau, le gaz, l'électricité.
Papa n'a pas voulu
Et Maman non plus.
Mon idée leur a déplu.
Tant pis n'en parlons plus !
Les enfants obéissants
Font tout c'que disent leurs parents.
Papa n'a pas voulu
Et maman non plus.
Je pense que je reviendrai pour parler de Mireille et de Jean Nohain et poster des vidéos les concernant.
Ici, la magnifique chanson "Quand un vicomte rencontre un autre vicomte" chantée par Maurice Chevalier, Georges Brassens, d'autres plus récents comme Patrick Bruel, et bien sûr par Mireille avec cette charmante voix pas facile à définir, disant qu'elle a du groove, qu'elle swingue merveilleusement bien. 🙂
En ce temps-là, ils étaient moins riches qu'aujourd'hui d'une manière générale. Et pourtant, comme le dit le documentaire, peu d'entre eux se plaignaient. Ils étaient dignes et humbles, ce que nous avons pas mal perdu depuis, ainsi que la politesse dont ces personnes âgées font montre dans la vidéos.
Document des années 50 sur la vie dans une ferme et une famille de "Français moyens".
Courte biographie de Georges Milton avec quelques liens de chansons...
Comme je l'ai entendue, cette chanson, gamine ! Elle est signée Lucien Boyer et Vincent Scotto et date de 1924 pour le film du même nom.
Paroles :
Ah, Georges Milton ! Combien de chansons amusantes il a chantées ! Celle-ci, je l'ai découverte tout récemment. J'y ai vu, sous son ton d'humour et au rythme d'une marche militaire, de l'ironie à propos du régime du Maréchal Pétain durant la Guerre. C'est sarcastique et critique. Je me demande comment elle avait été comprise en 1942, lorsqu'elle était sortie...
Paroles :
Bientôt viendrait la terrible guerre, la Seconde mondiale. On ne pouvait guère espérer le bonheur en ce temps-là tant la menace était grande et qu'il y avait déjà la Guerre Civile espagnole. Mais la chanson était là et faisait sa résistance à sa manière...
Les paroles ici :